Ce qu’on ne connaît pas le bruit
ombres de rien ces mots
sous le couvert de la tôle
les mains sur les genoux
comme dans un ventre se vomir
sans pouvoir le faire
dans le ciel qu’on ne voit plus
comme le moment fini le dragon
s’embrume et tourne en rond
avant que de s’enfuir pour les prières
Le paradis s’emporte avec soi
leurs fronts sur la terre
tantes et oncles attendent
les mains sur les genoux
ce qu’on ne connaît pas